Marie Vareille s’est hissée pour moi au rang des valeurs sûres. Après Le syndrome du spaghetti et Ainsi gèlent les bulles de savon, elle m’a une nouvelle fois convaincue !
En apparence, Alice va très bien (ou presque). En réalité, elle ne dort plus sans somnifères, souffre de troubles obsessionnels compulsifs et collectionne les crises d’angoisse à l’idée que le drame qu’elle a si profondément enfoui quelques années plus tôt refasse surface. Américaine fraîchement débarquée à Paris, elle n’a qu’un objectif : repartir à zéro et se reconstruire. Elle accepte alors de travailler dans une start-up dirigée par un jeune PDG fantasque dont le projet se révèle pour le moins… étonnant : il veut réunir les chaussettes dépareillées de par le monde. La jeune femme ne s’en doute pas encore, mais les rencontres qu’elle va faire dans cette ville inconnue vont bouleverser sa vie. Devenue experte dans l’art de mettre des barrières entre elle et les autres, jusqu’à quand Alice arrivera-t-elle à dissimuler la vérité sur son passé ?
La vie rêvée des chaussettes orphelines est une histoire de sœurs et une histoire de reconstruction.
Je l’ai dévoré, exactement comme le roman précédent que j’avais lu de l’auteure. Il m’a d’ailleurs sortie de la presque-panne-de-lecture dans laquelle m’avait plongée le classique que j’avais lu avant (un pavé que je ne suis pas sûre de finir !).
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